Cécile & Benjamin see the world !

Lorsque nous quittons la région des parcs pour rejoindre Zanzibar, nous nous disons que nous essayerons de revenir un jour tant cela nous a plu.

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Le parc du Ngorongoro est notre dernière étape avant de prendre l’avion pour Zanzibar. Nous avons eu un petit aperçu de sa beauté lorsque nous avons traversé le pays massaï pour rejoindre le Serengeti. C’est pratiquement le seul lieu en Tanzanie ou nous pouvons voir les « big five ». Allons-nous apercevoir le très rare rhinocéros noir ?

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Après une grasse matinée tout relative (levés à 7h30 du matin), nous filons vers le parc Serengeti. D’après notre guide, c’est l’un des parcs majeurs du pays mais, malgré de nombreuses tentatives, nous ne parvenons pas à tirer la moindre information croustillante sur le parc à Willie. Qu’allons nous découvrir de « mieux » là bas ?

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Notre dernière étape en Italie est la Sicile, le pays de Cécile. La boucle est bouclée puisque Cécile a (re)découvert la Normandie avant notre grand départ, c’est à mon tour de (re)découvrir sa région.

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… était une des destinations phare de notre périple en Italie. Je voulais y aller depuis longtemps et Cécile était toute aussi impatiente que moi de découvrir enfin ce paysage de carte postale.

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Bon… Naples est à la hauteur de sa réputation : chaotique et plutôt sale même si en ce moment, il n’y a aucune grève d’éboueurs. Dangereuse, on ne sait pas. Notre hôtel est super bien situé, près de la mer, face au château fort. On fait gaffe, on ne se sent pas en insécurité. Mais la municipalité édite et distribue une brochure sur les meilleures façons d’éviter les agressions tout de même…
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J’ai assez peu organisé notre étape italienne, voir pas du tout. Cécile s’en est chargée. J’arrivais donc sur le site sans avoir lu le moindre guide. Je connaissais l’histoire de la ville mais je ne savais pas exactement à quoi m’attendre… 

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En arrivant dans la région la plus au sud de l’Italie, nous pensions visiter l’un des endroits les moins touristiques du pays… Mais non ! Si le tourisme international y est relativement discret, il n’en va pas de même du tourisme local… il faut dire que la péninsule regorge de merveilles ! (suite…)

C’est un minimum. Tous les ans, il me faut revenir au pays. Savourer la musicalité joyeuse de la langue, humer les senteurs de la cuisine la plus ensoleillée qui soit, s’émerveiller d’un esthétisme inné distillé en toute chose, les paysages, l’urbanisme, l’architecture, les arts bien sur… (suite…)