Cécile tente de me concurrencer pour la loose d’or !
Souvenez vous, mon chargeur de portable m’avait lâchement abandonné après avoir pris l’eau dans la soute d’un bus indien. Depuis cette loose, je me sentais favori pour le trophée de la loose d’or… mais c’est sans compter sur la pugnacité de Cécile.
Cécile rêve du Salar d’Uyuni depuis 20 ans. Elle est donc très impatiente de pouvoir découvrir ce site majeur et surtout de pouvoir l’immortaliser avec son appareil photo.
Enfin c’est sans compter sur la rudesse du climat (-15°C le matin) et la poussière, puisque son appareil photo décide de tomber en panne la veille de notre arrivée dans le Salar. Nous tentons vainement de le réanimer mais en vain. Cécile, la mort dans l’âme, se voit contraint de photographier avec ses yeux. De mon coté, j’ai la mission de faire des photos de paysages avec un téléobjectif, pas aisé non plus.
Une fois revenus à la civilisation, à Cochabamba, nous tentons de trouver un réparateur correct pour essayer de réanimer le précieux. Pour le moment, le succès n’est pas au rendez-vous. Normalement Santa Cruz, notre prochaine étape, est plus riche en magasins photo.
Attendez vous donc à avoir beaucoup de photos d’oiseaux en attendant que Cécile retrouve un moyen d’expression !
De :
Carissimi, Cecile et Benjamin. Chè splendore di fotografie che avete fatto in Bolivie, sono meravigliosi i paesaggi di Western,mi ricordono la mia infansia quando andavo a cavallo, nelle Ferme Ragusani della Sicilia.
Spero che Benjamin comprende l’Italiano.Vi abbraccio tutte due.Francois.