C’est un minimum. Tous les ans, il me faut revenir au pays. Savourer la musicalité joyeuse de la langue, humer les senteurs de la cuisine la plus ensoleillée qui soit, s’émerveiller d’un esthétisme inné distillé en toute chose, les paysages, l’urbanisme, l’architecture, les arts bien sur… (suite…)